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Ombres et brouillard.
Tandis que l'air rouille les feuilles
Que le vent épuise la girouette,
Le brouillard envelope le seuil
Des images qui hantent ma tête.
Pensées floues, ombres mélancoliques
Habitent mon esprit dans la brume perdu
Nuages lourds et fantomatiques
Vont en errance vers demain inconnu.
Jours sans sourires, nuits en detresse
Que sera donc alors mon devenir.
Je laisse en moi regner la paresse
Je ne désire rien dans l'avenir.
Le jour renaît, luit le soleil
Sourire sur mes lèvres revient
Mes yeux clignent vers le ciel
A nouveau je crois en demain.
Seras tu là, en ce matin joyeux
L'espoir laisse rêver mon coeur .
Entends tu ses battements heureux
Ce matin , c'est matin bonheur.
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Ombres et brouillard.
Tandis que l'air rouille les feuilles
Que le vent épuise la girouette,
Le brouillard envelope le seuil
Des images qui hantent ma tête.
Pensées floues, ombres mélancoliques
Habitent mon esprit dans la brume perdu
Nuages lourds et fantomatiques
Vont en errance vers demain inconnu.
Jours sans sourires, nuits en detresse
Que sera donc alors mon devenir.
Je laisse en moi regner la paresse
Je ne désire rien dans l'avenir.
Le jour renaît, luit le soleil
Sourire sur mes lèvres revient
Mes yeux clignent vers le ciel
A nouveau je crois en demain.
Seras tu là, en ce matin joyeux
L'espoir laisse rêver mon coeur .
Entends tu ses battements heureux
Ce matin , c'est matin bonheur.
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Etiré,allongé,poussé par le vent,
Au dessus du monde, cachant le soleil,
Le nuage prend forme aux yeux de l'enfant
D'un petit animal, dessiné dans le ciel.Blanc flocon de laine ,voyageur de l'espace
Léger vers l'horizon s'éloigne doucement .
Emportant les rêves, laissant à la place,
Une déception dans le coeur de l'enfant.Dans une folle danse il monte vers l'infini,
Poussé par le vent, déchiré,sans armes
Disparaît enfin,au bout de la nuit,
Puis revient sur nous pour verser ses larmes.Immense champignon, montant de la terre,
Son horrible rire se moquant nos peurs
Laissant derrière lui, un monde de misère,
Destruction de vies, ne laissant que pleurs
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Et mon cœur s'est levé par ce matin d'été;
Car tu étais là, bel ange sur le rivage,
Laissant errer sur moi des yeux pleins de clarté,
Et qui me souriait d'un air tendre et sauvage.
Toi que transfiguraient la Jeunesse et l'Amour,
Tu m'apparus alors comme l'âme des choses;
Mon cœur vola vers toi, tu le pris sans retour,
Et du ciel entr'ouvert pleuvaient sur nous des roses.
Et quand tu apparus, ma joie fut grande
Et dans le ciel le soleil sortit des nuages
Des milliers de roses tomberent en offrande
Changeant la couleur de notre paysage
Ton sourire alors, éclatant de bonheur
Reflet de ton âme un instant heureuse
Soudain m'atteignit en plein coeur
Mon coeur qui dansait, d'humeur joyeuse
Le soleil brillait ,la pluie était en pause
Et du ciel entr'ouvert pleuvaient sur nous des roses
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